PRÉSENTATION

Praticien en Psychothérapie

Diplômé de l’EFPP : Ecole de Formation de Psychanalyste et Psychopraticien et de la E-Faculté de Psychologie d’Aix en Provence

Je trouve que la meilleure façon d’aimer quelqu’un n’est pas de le changer, mais plutôt, de l’aider à révéler la plus belle version de lui-même….

Christophe RUBY


Thérapie du deuil

Fort de plus de 25 années d’expériences dans l’accompagnement des personnes endeuillées, je vous propose un suivi adapté, afin d’aider toutes les personnes éprouvants des difficultés suite à la perte d’un proche et plus particulièrement dans le deuil aggravé ou pathologique.

  • Psychologie du deuil
  • Accompagnement et suivi du deuil
  • Thérapie du deuil aggravé ou pathologique

Donc, « faire son deuil » ne signifie pas « terminer et passer à autre chose » mais représente une période pendant laquelle il y a une douleur, et ainsi  « Faire son deuil » c’est « Faire sa douleur ». Il s’agit même alors d’une douleur « qu’on se fait » puisqu’on dit « faire son deuil ».

Si nous considérons le début, au moment de la découverte de cette perte d’un être cher, tout commence par un choc, un effondrement. Le sol se dérobe, les repères s’effondrent, la vie est suspendue au milieu de nulle part, dans un nouveau monde qui nous est totalement inconnu. Il se vit là une sensation surprenante, inattendue, car on ne  savait pas qu’une telle chose puisse exister. On savait qu’il y  a la mort, mais on n’avait jamais imaginé cette mort là. Quand bien même suite à une agonie due à une maladie cette mort était attendue, le fait de l’attendre ne rend pas compte de ce qui est éprouvé quand elle survient. Il peut suivre une période de déni, qui en réaction au choc est surtout une forme d’anesthésie. On n’y croit pas, ce n’est pas possible ! Une phase de stupeur qui peut durer plus ou moins longtemps (de quelques heures à quelques années… ou même quelques décennies !). Cette phase peut-être une stupeur inhibitrice, jusqu’au fait de ne plus pouvoir rien faire du tout, mais aussi ce peut être une anesthésie suffisante de la douleur permettant néanmoins de vivre « comme si de rien n’était » grâce à des compensations (étayages). La douleur du deuil proprement dit n’apparaîtra alors que plus tard. Tout cela dépend de l’énergie disponible.


Nouvelles approches

Je vous propose plusieurs approches aussi différentes que complémentaires adaptées en fonction des problématiques de chacun.

Exemples de symptômes :

  • Troubles de l’humeur : dépression, mélancolie, dysthymie, manie, bipolarité...
  • Troubles anxieux : stress aigu, anxiété généralisé, attaque panique, toc, phobies...
  • Troubles somatoformes : hypocondrie, somatisation, conversion, dysmorphie…
  • Troubles de la personnalité et de l’identité : antisocial, borderline, narcissique…
  • Troubles du contrôle des pulsions : kleptomanie, pyromanie, jeu, trichotillomanie…
  • Troubles Psychotiques : schizophrène, affectivité, catatonie, jalousie…
  • Troubles dissociatifs : personnalité multiple, amnésie, dépersonnalisation…
  • Troubles du comportement alimentaire : anorexie, boulimie…
  • Addictions et Phobies

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